mercredi 29 août 2012

Retour de vacances


Ouf. Enfin rentrée. J'ai rasé les murs. Enfin façon de parler... J'ai évité les plages sur lesquelles j'aurais pu croiser quelques vieilles connaissances qui m'ont connu lorsque ma taille n'était pas celle d'une baleine. Mieux, j'ai esquivé toute photo qui aurait pu compromettre mon avenir : on ne voit quasiment que mon visage. L'honneur est sauf.

Donc de retour, les choses sérieuses peuvent enfin commencer. Pas d'enfant pendant quelques jours, il est temps d'en profiter pour reprendre le sport et éviter les tentations gâteaux-crèpes-NUTELLA !
Oui mais voilà : par où commencer justement.

Ok : exit les calories superflues, les tranches de jambon, le fromage, le pain. Je fais comment moi lorsque cette irrépressible envie de grignoter et de me jeter sur tout ce qui me dit "attention. Danger.
Tu vas prendre 300 gr rien qu'en me regardant et tu triples la mise une fois que tu m'auras ingéré" me tenaille le ventre, non plutôt le cerveau.
Oui je sais : une rupture, une contrariété, un coup de blues et zou, j'ouvre le réfrigérateur en le prenant pour mon thérapeute. Ça marche certes. Deux minutes... Pas plus.
Alors, toute déterminée que j'étais il y a quelques jours à ne plus céder à la tentation maléfique de l'appel du gras, j'ai mis dans les placards de la cuisine des "petits" gâteaux de régime... au citron, sans saveur. J'y ai ajouté des barres chocolatées sensées se substituer à un repas et enfin, j'ai acheté des pommes. Des POMMES ! J'en peu plus des pommes !

J'ai l'impression que depuis que je suis adulte, j'ai passé mon temps à faire des régimes ou à surveiller mon poids. Et les pommes m'accompagnent aussi depuis tout ce temps. Alors je ne peux plus les voir en peinture si vous voyez ce que je veux dire.
Résultat de cette première tentative de modification culinaire et après trois jours de piscine, running, manging léger, etc... 200 gr perdus. Je regarde tout de même si la balance n'est pas détraquée. Non.
C'est bizarre quand même. J'ai pourtant eu l'impression de ne rien manger et d'avoir terriblement faim. Ah oui. Je comprends pourquoi. C'est ça. Ça me le fait tout le temps. Trois jours que mes intestins sont en grève. Va falloir que j'en réfère à ma direction cérébrale. Il parait que c'est elle qui contrôle cette partie-là. Je ne sais pas trop quelles sont les revendications exactes de mes sous-fifres digestifs, mais je décide de lâcher... du leste et je leur octroie une augmentation de.... laxatif.
Charmant je le reconnais, mais y faut c'qui faut ma brave dame pour espérer gratter quelques grammes sur la balance.

2 commentaires:

Elsa Cadier a dit…

Ben c'est du propre.

Elsa Cadier a dit…

Ben c'est du propre.